D’habitude, j’évite de trop étaler ma vie dans ces pages car ce n’est pas le propos (bien que le côté « expérience vécue » apporte un semblant de crédibilité à ce que je raconte). Mais Marylin a voulu faire la curieuse et je me suis laissé faire.

Non pas cette Marilyn là, l’autre
Vous trouverez donc une poignée de confessions sur le blog de la belle blonde.
Et je voulais aussi vous aiguiller vers ce joli petit morceau chez Françoise Simpère, dans lequel elle taille des shorts à des poncifs de la culture amoureuse à deux balles.